| 000 | 01572cam a2200181 i 4500 | ||
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| 001 | 1193 | ||
| 010 | _a978-2-07-287814-5 | ||
| 090 | _a1193 | ||
| 099 | _tLIVR | ||
| 100 | _a20230613 frey50 | ||
| 101 | 0 | _afre | |
| 200 |
_aL'oeil du Quattrocento _el'usage de la peinture dans l'Italie de la Renaissance _fMichael Baxandall _fYvette Delsaut _bLIVR |
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| 210 |
_aParis, France _d2020 |
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| 215 | _a(227; 64 p.) | ||
| 330 | _aHistoire sociale et histoire de l’art ne font qu’un : c’est ce qu’après tant d’études qui ne se sont intéressées qu’à la signification propre de l’œuvre d’art, ou à sa signification purement sociale, illustre admirablement Michael Baxandall (1933-2008), historien anglais, sur l’exemple de la peinture italienne de la Renaissance. À quelle demande exacte répondaient Masaccio, Filippo Lippi, Andrea del Castagno ou Fra Angelico? De quel sens leurs œuvres étaient-elles chargées, et comment les regardaient leurs destinataires et leurs commanditaires? C’est à ce type de questions que répond l’auteur en analysant le marché de l’art, à travers les contrats, les correspondances et les registres de comptes. En montrant aussi comment les dispositions visuelles nées de la vie quotidienne, religieuse, sociale ou commerciale de l’époque sont devenues des éléments déterminants du style du peintre. Retrouver l’œil du Quattrocento, c’est rafraîchir le nôtre. (4e de couverture) | ||
| 700 |
_aBaxandall _bMichael _4070 _94590 |
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