000 | 01840cam a2200229 i 4500 | ||
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001 | 192 | ||
010 | _a978-2-84066-869-5 | ||
090 | _a192 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20230613 frey50 | ||
200 |
_aLa ruse de l'innocence _echronique d'une sculpture perceptive, 1973-1980 _fRémy Zaugg _fEva Schmidt _fEva Schmidt _bLIVR |
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210 |
_ales Presses du réel _d2016 |
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215 | _a(285 p.) | ||
330 | _aLe quatrième volume des écrits complets de Rémy Zaugg (1973-1980), autour de Donald Judd et de la sculpture minimaliste, un livre auquel l'artiste ne cessera de se référer dans les textes et conversations ultérieurs, et que, parce qu'il traite abondamment du contexte muséal et architectonique qui détermine largement la perception et l'interprétation des œuvres d'art, beaucoup d'architectes – Herzog et de Meuron les premiers – lurent aussi. « La sculpture ne prétend pas exister indépendamment du sujet percevant, comme si elle était donnée d'emblée, toute faite et prête à emporter, tel le poulet congelé du supermarché. Elle se refuse à l'illusion d'un monde et de sujets à la réalité achevée. Elle met en cause et dénie notre savoir du monde et de nous-même. Elle nous dit que tout reste à faire et que monde et sujet procéderont de ce faire. La juxtaposition, pour sa part, semble attendre au contraire l'intention, la subjectivité et l'arbitraire du regardant créateur appelé à combler sa vacance, comme si tout dépendait de nous, comme si nous étions tout et elle rien. » (éditeur) | ||
610 | _aÉcrits d'artistes | ||
610 | _aSculpture – Appréciation | ||
610 | _aSculpture – Esthétique | ||
610 | _aSculpture minimale | ||
700 |
_aSchmidt _bEva _4070 _92656 |
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700 |
_aSchmidt _bEva _4075 _92656 |
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700 |
_aZaugg _bRémy _4070 _92657 |
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801 |
_aTN _b32bis _c20230514 _gUNIMARC |