000 | 01840cam a2200217 i 4500 | ||
---|---|---|---|
001 | 489 | ||
010 | _a979-10-92444-75-9 | ||
090 | _a489 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20230613 frey50 | ||
200 |
_aConversations _fFrancis Bacon _fYannick Préfacier Haenel _fMarc Trivier _bLIVR |
||
210 |
_aL'Atelier contemporain : François-Marie Deyrolle éditeur _d2019 |
||
215 | _a(203 p.) | ||
330 | _a"Francis Bacon intrigue. Il est le peintre de la violence, de la dislocation et du cri, qu'il déploie dans de grands triptyques. Ses oeuvres choquent souvent, mais toujours fascinent. Au cours d'entretiens menés entre 1964 et 1992, l'artiste se prête au jeu des questions réponses et se dévoile peu à peu. Bacon parle de sa peinture, de son admiration pour les oeuvres de Picasso et de Vélasquez, de Bunuel et d'Eisenstein. Il exprime son opinion sur l'art contemporain, qu'il n'aime pas, et sur l'art abstrait, qu'il déteste. Il défend passionnément ce qu'il aime, n'hésite pas à corriger ses interlocuteurs, se lançant parfois dans une joute verbale pour affirmer son point de vue d'artiste. Et puis il y a l'homme, cet homme vieillissant à l'intrigante allure de jeune homme, avec son passé irlandais et son expérience de la guerre, sa vision de la vie et de la mort. Un homme qui a aussi ses faiblesses. Bacon fait part de ses doutes : il pense ne pas savoir dessiner, ne pas plaire au public. Il ne veut plus revoir ses tableaux. Autant de confessions qui tracent les contours d'un être atypique, dont l'oeuvre n'en finit pas de captiver." [Source : 4e de couv.] | ||
610 | _aBacon | ||
610 | _aFrancis (1909-1992) – Entretiens | ||
610 | _aN6480-6495 | ||
700 |
_aBacon _bFrancis _4070 _93252 |
||
700 |
_aHaenel _bYannick _4080 _93008 |
||
700 |
_aTrivier _bMarc _4070 _93253 |
||
801 |
_aTN _b32bis _c20230514 _gUNIMARC |