000 | 03073cam a2200241 i 4500 | ||
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001 | 510 | ||
010 | _a979-10-92444-44-5 | ||
090 | _a510 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20230613 frey50 | ||
101 | 0 | _afre | |
200 |
_aAu vif de la peinture, à l'ombre des mots: _fGérard Titus-Carmel _fRoland Préfacier Recht _fAbbaye de Saint-Riquier _bLIVR |
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210 |
_al'Atelier contemporain-François-Marie Deyrolle éditeur _d2016 |
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215 | _a(735 p.) | ||
330 | _aLa 4e de couverture indique : "Les écrits de Gérard Titus-Carmel ici réunis s’étendent sur 45 années durant lesquelles il s’est simultanément livré à une intense activité de peintre et de graveur. Sans doute ne pense-t-il pas à l’écriture lorsqu’il peint, mais ses écrits, eux, témoignent d’un objectif constant : comprendre, non pas dans l’expérience quotidienne du geste mais à l’aide des mots que ce geste suscite, de quoi la peinture et la gravure sont faites. Revenir chaque jour devant la « hautaine inaccessibilité de la peinture », pour tenter néanmoins de l’interroger, et chercher aussi à saisir ce qui, en elle, ne satisfait pas absolument. Dans l’acte de peinture, une part de la chose qui sert de modèle, se dérobe, d’où naîtrait le désir de la saisir avec d’autres moyens. Mais ces moyens eux-mêmes qui sont les mots de la langue, ouvrent à leur tour sur de nouveaux mondes, lesquels demandent, exigent impérativement que l’auteur s’y attarde. Et il est clair, en lisant Gérard Titus-Carmel, qu’il y a chez lui une jouissance de l’écrit aussi intense et aussi vitale que celle qui accompagne son travail de peintre. (…) Les écrits de Gérard Titus-Carmel témoignent d’une activité théorique : ils sont le produit d’une réflexion à partir d’œuvres du passé ou de notre temps, mais aussi à partir de sa pratique artistique propre. Ces écrits font en quelque sorte retour sur sa pratique de la peinture. Et puis c’est toute l’histoire de la peinture qui se trouve sollicitée. Les textes qu’on va lire ont été écrits dans ce lieu singulier où s’entrecroisent les œuvres d’Edvard Munch, de Bram van Velde, de Matthias Grünewald, de Picasso, de Chardin, de Jean-Pierre Pincemin, parmi bien d’autres, et de Gérard Titus-Carmel. En plus de l’érudition sans faille dont témoignent les essais sur L’Indolente d’Orsay, ou sur La Raie de Chardin et le Portrait de Richelieu de Philippe de Champaigne, il procède à une sorte de déconstruction progressive du tableau. Le peintre Gérard Titus-Carmel s’intéresse autant à ce que le tableau donne à voir, qu’à ce qu’il recouvre. Il n’y a plus que les mots pour remémorer tout ce qui est à présent rendu invisible." | ||
610 | _aCritique d'art | ||
610 | _aÉcrits d'artistes – France – 1945-.... | ||
610 | _aEsthétique | ||
610 | _aPeinture – Histoire | ||
700 |
_aRecht _bRoland _4080 _92328 |
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700 |
_aSaint-Riquier _bAbbaye de _4070 _93294 |
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700 |
_aTitus-Carmel _bGérard _4070 |
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801 |
_aTN _b32bis _c20230514 _gUNIMARC |