000 | 01932nam a2200205 4500 | ||
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001 | 8221 | ||
010 | _a978-9938-01-181-4 | ||
090 | _a8221 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20250610d u||y0frey5050 ba | ||
101 | _afre | ||
102 | _aTN | ||
200 |
_aLa poésie en question _bLIVR _eEntretiens avec l'intelligence artificielle _fPropos suscités par Hichem Ben Ammar |
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210 |
_aTunis _cSud Editions _dMars 2025 |
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215 |
_a164p. _cCouv.Coul. _d21 x 13 |
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330 | _aHichem Ben Ammar établit dans ce livre un parallèle avec la figure du Jin, car, comme il le note, avec l’IA, on pose des questions en donnant des consignes et «elle» nous renvoie des réponses à une vitesse fulgurante. Dans son entretien avec la machine, il part du principe qu’elle aspire à devenir humaine et lui attribue ce désir, une idée à laquelle il s’est dit s’être obstiné pour pousser son «interlocutrice» dans ses retranchements en stipulant qu’elle est en concurrence avec nous, et d’avoir en retour des réactions troublantes. Un rapport qui peut vite devenir addictif, souligne l’auteur qui dit s’être retrouvé à passer une dizaine d’heures devant son ordinateur. Ces échanges, il les a peaufinés en maîtrisant avec le temps un peu plus l’instrument pour les structurer en chapitres avec l’idée de les présenter au public «comme une sorte d’appel citoyen à l’utilisation de la machine», comme il le note. Chaque chapitre aborde une thématique avec un fil d’Ariane reliant le tout. «J’ai opéré comme pour mes autres interviews, en essayant de problématiser et en poussant mon interlocuteur à se révéler et à s’expliquer parce que j’estime qu’à ce rythme, l’on va au-devant d’une forme de servitude» | ||
606 |
_aPoésie _xIntelligence Artificielle _yTunisie _921407 |
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700 |
_4070 _aBen Ammar _bHichem _921408 |
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801 |
_aTN _b32Bis _cYYYYMMDD _gAFNOR |
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830 | _aABA |